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 (M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free

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AuteurMessage
Wolvérine C. Warhol

Wolvérine C. Warhol


Messages : 24
Date d'inscription : 23/05/2010
Copyright : tsouri & BANANA•HAMMOCK
Pseudo : fanny

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MessageSujet: (M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free   (M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free EmptyMer 26 Mai - 15:07

willem hermès mondrian
négociable tant que ce n'est pas trop banal et que le pseudo me convient.

(M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free 34yw55s
credit ; shatteredkillers.

    ÂGE : Dans la vingtaine, 24 ans ou plus, selon votre envie.
    NATIONALITÉ : Américaine.
    ORIGINES : Hollandaises.
    EMPLOI : ; Au choix.
    AVATAR(S) : ; J'ai mis Ed Westwick parce qu'il conviendrait bien au rôle mais à vrai dire je ne suis pas très difficile, je trouve que Tom Sturridge serait tout aussi parfait, tout comme James Franco, César Casier et d'autres, n'hésitez pas à proposer si le rôle vous tient à coeur mais que les célébrités proposées ne vous plaisent pas.

    HISTOIRE DU PERSONNAGE.

    Il n'y a pas vraiment d'histoire, vous êtes libre, mais son enfance n'a pas été facile, et il n'a toujours pas facile de vivre vu sa maladie. Il est violent, protecteur, silencieux, calme, agréable, romantique, intelligent, élégant, gentleman, cultivé, nostalgique, mélancolique, charmeur, menteur, colérique, manipulateur, froid, distant, il n'aime pas être attaché à quelqu'un. Willem est atteint du trouble bipolaire, ce qui veut dire qu'il va subir des changements d'humeur extrêmes assez fréquemment. Il aura des périodes maniaques, des périodes de dépression mais aussi des périodes de stabilité. C'est pour cette raison que Willem est assez solitaire, les gens ont tendance à le fuir et lui ne parvient pas à assumer sa "maladie".

    WOLVÉRINE CLÉOPHYRE WARHOL -
      relation
      Citation :


      « Take my time today, it's not an easy game. Many sights to be seen if you say so, it's not easy baby. Crossing lines, don't let me feel this way ... » Les pieds nus appuyés sur mon volant, j'attendais, j'attendais un client. Remuant mes orteils au rythme de la musique en attendant. J'avais le temps, tout le temps. Qu'un client vienne ou non je m'amusais. Et je chantais, me déjantant. Les cheveux en bataille, les pieds nus, je me doutais que j'allais faire fuir n'importe qui, qu'aucun client n'allait venir à moi. Mais je n'en avais que faire, c'était le pied. J'ignorais les yeux exorbités des passants, mieux, j'en riais. « Wish I was young enough, wish you were made just for me, wish I was young enough, wish you were made just... Hey you, no you don't have to go ... » La porte s'est ouverte brusquement, apparemment je ne faisais pas encore assez peur. Je n'ai pas baissé la musique, je n'en avais pas envie. « bonjour. » J'ai tourné la tête pour faire face à mon interlocuteur, pour finalement ne plus pouvoir m'en détacher. Comme captivée par l'homme qui venait d'entrer. C'était l'homme qui hantait mes nuits, mes rêves. Je l'avais croisé une fois dans un parc, je n'avais jamais oublié son visage. Il était beau. Il était étrange et dégageait quelque chose que je ne savais discerner. Comme s'il cachait un lourd secret. J'avais été marquée, et depuis je ne pouvais m'empêcher de penser à lui, sans trop savoir pourquoi. Ce jour-là il paraissait différent de l'autre fois, et cela ne le rendait que plus intriguant. J'étais complètement déstabilisée. Ses yeux bleus intenses s'ancraient dans mes prunelles et j'osais à peine respirer. J'étais envoutée, paralysée. Il a fixé mes pieds un instant, fronçant les sourcils avant de sourire. Je les ai retiré rapidement du tableau de bord, rougissant légèrement avant de remettre mes chaussures. J'ai remarqué que le silence s'installait, et qu'il ne m'avait toujours pas dit où il se rendait. « je vous amène où ? » « et bien à vrai dire je n'en sais trop rien, j'avais juste envie de voyager, j'ai envie de regarder le temps passer par la fenêtre, de voir le monde s'écouler, j'ai envie de voir la ville d'un taxi. et de parler, j'ai besoin de parler. donc vous m'amenez où vous voulez, faites le tour de la ville, faites moi voir les endroits que vous préférez. je vous dirai quand j'en aurai vu assez. » J'ai froncé les sourcils. Jamais je n'avais entendu une personne parler autant en aussi peu de temps. Lui qui paraissait si paisible lorsque je l'avais vu dans le parc semblait être étrangement excité, et j'avais l'impression qu'il ne me serait pas facile de l'arrêter de parler. Je ne comprenais pas, j'étais surprise, je m'attendais à tout sauf à ça. Mais ce jour-là je ne connaissais pas encore sa maladie. Sinon j'aurais compris. Je devais quand même l'avouer son comportement me plaisait. Un client qui venait dans l'unique plaisir de voyager c'était étrange, et c'était le premier qui le faisait. Cela me plut immédiatement, c'était le genre de choses dont j'étais capable : prendre un taxi pour voyager et regarder le temps s'écouler. Il s'appelait Willem, continuait de parler sans jamais s'arrêter, tandis que moi j'essayais de suivre, écoutant et buvant chacune de ses paroles. Il me faisait rire, il était intéressant. Willem semblait sans aucune gêne et se mit à fouiller dans mes affaires, comme s'il avait besoin de bouger, de faire quelque chose pour s'occuper, comme un enfant qui avait besoin de jouer. Je ne lui ai pas dit d'arrêter, parce qu'il m'occupait. Il changea la musique pour mettre un morceau des beatles, obladi oblada et se mit à chanter, pour ne pas dire crier. Et nous avons chanté ensemble, en riant. Et je l'ai écouté parler, pendant des heures, de tout et de rien. Je n'avais même pas eu l'envie de l'arrêter une seule fois, c'était comme s'il se libérait de tout ce qu'il n'avait pas l'occasion de dire, de tout ce qu'il n'avait pas su dire auparavant. Et tout en continuant de parler, il a déposé sa main sur ma cuisse remontant lentement tandis que je n'osais plus respirer. Je comprenais de moins en moins son comportement. Et pourtant je me sentais en confiance en sa compagnie. Alors que je le connaissais à peine. Willem retira sa main précipitamment, avant de recommencer à parler nerveusement. « merci Wolvérine vous pouvez vous arrêtez ici. en tout cas merci pour tout, merci pour m'avoir écouté, pour avoir chanté, pour tout. & voici votre argent. je reviendrai. » « de rien. » Il est parti aussi vite qu'il était arrivé, je l'avais déposé à côté de l'hôpital et je l'ai regardé y rentrer, les sourcils froncés. Il m'avait laissée seule dans un silence trop pesant après cette présence intrigante. Il était un mystère, j'aimais les mystères et j'avais bien l'intention de découvrir qui il était vraiment.



      Je suis au courant, je comprends tout à présent, il m'a dit, après que j'aie insisté de nombreuses fois pour qu'il me parle. Il n'aime pas en parler, il n'accepte pas sa maladie. Mais moi je l'accepte pour lui et je suis assez forte pour la porter pour nous deux. Je l'aime le matin, je l'aime le midi, je l'aime le soir et la nuit. Je l'aime. Je suis à lui, entièrement. J'aime ses trois côtés, ses trois lui malgré que certains me fassent du mal. J'aime ses périodes maniaques pendant lesquelles il ne s'arrête pas de parler, pendant lesquelles il a toujours besoin de bouger, de faire quelques choses, pendant lesquelles il me fait rire, pendant lesquelles jamais il ne dort. Il n'est plus lui-même, perd tout contrôle de sa personne, a des envies sexuelles excessives, c'est la période pendant laquelle il m'aime le plus. Celle où je sens son amour débordant pour moi. Rien que ses caresses, ses gestes, ses paroles me le prouvent. Mais son regard encore plus. Je pourrais m'y perdre pendant des heures en silence. Malheureusement durant cette période le silence n'est pas un mot que je connais. Et puis il y a la stabilité, la période où je retrouve enfin le vrai Willem, la période où il essaye de s'éloigner de moi, de me repousser, parce qu'il ne veut pas de mon amour, parce qu'il n'a jamais été habitué à être aimé. Ça lui fait peur je crois. Son côté froid, mystérieux et distant me donne des frissons. Il ne comprend pas ce que je lui trouve, moi ce que j'aime ce sont ces nombreuses différences. Je le regarde dormir, paisiblement, comme un enfant. Me couchant à ses côtés pour pouvoir sentir son souffle chaud sur mon visage. Rien que cette vision me fait sourire. Je laisse mes doigts glisser lentement sur son torse tandis que je sens son coeur battre à un rythme régulier. Je sais qu'il ne va pas tarder à s'éveiller et je sais déjà ce qu'il va se passer. La dépression. Je me lève, m'éloignant de mon aimé pour préparer son petit déjeuner que je sais qu'il va refuser. Mais je ne désespère pas, je vais jusqu'au bout, espérant qu'un jour il m'écoutera. Je reviens, plateau entre les bras, il est toujours là, étendu, les yeux ouverts fixant le plafond. Ses yeux sont vides et tristes et cela me donne envie de pleurer. J'espère que cette journée sera moins pénible que les autres, j'espère qu'il ne prononcera pas ce mot que je déteste tant : suicide. Je m'assieds à ses côtés, le sourire aux lèvres alors qu'il ne daigne pas m'adresser un regard. « tiens, mange. » Pas un geste, pas un bruit, j'ai l'impression qu'il va encore dire que c'est sans espoir, et me demander que je parte. D'un seul coup, le plateau valse à terre dans un bruit désagréable. « je n'ai pas faim ! maintenant laisse moi ! » Il me regarde enfin, d'un regard noir, glacial, à faire peur. Sa main saisit mon poignet avec force pour le repousser. Il ne veut pas de moi. Je ne sais pas pourquoi. Il préfère sa solitude. « je t'aime. » « je t'ai dit de partir ! je veux juste un peu de solitude, je n'ai pas besoin de temps, nous deux ça mène à rien. » « tu dis toujours la même chose et je te le répète chaque fois : je t'aime et moi j'ai besoin de toi. » Il se recouche. Me tourne le dos. C'est fini pour aujourd'hui, il ne m'adressera plus la parole, restera dans ses pensées suicidaires et dépressives.

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Wolvérine C. Warhol

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MessageSujet: Re: (M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free   (M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free EmptyJeu 27 Mai - 18:41

    mon scénario est terminé et prêt à être pris I love you je ne demande pas quelqu'un qui soit présent 24 heures sur 24, ayant moi même parfois quelques difficultés à passer tous les jours, je ne demande pas non plus quelqu'un ayant un style exceptionnel, mais juste quelqu'un ayant une bonne orthographe (a) comme je l'ai dit l'avatar est totalement négociable et le pseudo également, à condition qu'il respecte les origines de mon personnage (: je sais que le personnage est assez complexe donc si vous avez des questions, n'hésitez pas à vous rendre sur ma boite mp. merci à toi si jamais tu prends mon personnage (M) ON A FRÔLÉ LA VIE. - free 979441
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