LIVE FAST, DIE YOUNG ♦ loïs

LOÏS NINE WENDELL

I • QUOI DE NEUF DOCTEUR?

III • CONSULTATION

Loïs est italienne. Sa mère était italienne, son père était américain il a vécu en France puis l'a quitté pour l'Italie. C'est là qu'il a rencontré celle qui lui a donné la vie. Elle est née en Italie, elle y a vécu jusqu'au jour où elle a tout quitté pour les USA. Elle se ronge les ongles, c'est une sale manie qu'elle a mainte et mainte fois tenté d'arrêter, en vain. Elle n'aime pas le chocolat, et l'assume totalement. C'est une piétre cuisinière. Tout ce qu'elle tente de préparer finit par ressembler à un tas gluant, directement pour le chien. Elle est croyante bien qu'étant bisexuelle. D'ailleurs elle se rend très souvent à l'église. Sa bisexualité est un vrai fardeau, ses parents sont en effet très peu tolérant. La preuve, ils ont coupé les ponts avec elle à cause de cela. Contrairement aux préjugés qu'on les gens sur les blondes, Loïs est très intelligente. Elle a obtenu son bac + 5 avec brio. Ne vous fiez pas à son petit gabarit. Elle fait de la boxe et n'hésite pas à se défendre si besoin est. Pendant un an elle est partie en mission humanitaire au Congo. C'est une adepte des sports extrêmes, elle a fait du parachutisme, du canoë et même du skate. Elle ne compte pas s'arrêter là. Elle s'est rendue compte de sa grosse il a peu de temps. Par conséquent, elle n'au aucune idée de qui est le père. Elle a une soeur internée dans un hopital psychatrique et un frère, emprisoné pour meurtre. Une vrai famille de fou.

IV • L'ORDONNANCE

he said to lose my life or lose my love, that's the nightmare i've been running from. so let me hold you in my arms a while, i was always careless as a child - Dans le taxi qui me ramène chez moi, je regarde la ville et ses rues obscures qui défilent à l'envers devant mes yeux, fumant une clope dont je n'ai même pas envie. Le cinéma aux pancartes lumineuse culmine au-dessus de moi, le bar où nous avions l'habitude d'aller en fait de même et je me souviens de ce soir de l'hiver dernier, on attendait la séance de cinèma assis sur un banc, devant un hôtel dont le nom m'échappe, emmitouflés dans ton manteau ; et toi qui disait : « On restera ensemble toute notre vie. ». A chaque fois que je passe par là, je crois voir nos deux silhouettes côte à côte, mais il n'y a jamais personne sur ce banc. Il n'y aurait jamais plus quelqu'un pour si asseoir d'ailleurs. Le passé... Insolent, perfide. Je me revois t'attendre, patiente, debout devant l'immense bâtisse d'époque victorienne qui nous sert d'église. Tu devait rentrer de voyage, tu devait faire ta dernière escale dans le creux de mes bras. Et je me souviens des rues Londoniennes défilant à toute allure, ta GT3 filant plus vite que la lumière, et le champagne dans nos coupes, et les Stones, les Beatles, Baudelaire. C'est finit. Tout est finit. C'est cela que l'on appelle tourbillon de la vie, parce que celle-ci va et vient, nous entraînes finalement dans l'obscurité et nous y laisse crever comme de vulgaire bêtes. Mais là n'est pas la pire tragédie. Le pire c'est que m'a laissé, que tu est venu puis que tu est finalement parti. Parce que je ne voulais plus rien dire pour toi, parce que tu préfèrait ta vie de débauché à celle qui te liait à moi. Pauvre con. Tu crévera au fond d'un caniveaux comme toutes les merdes de ton espèce. Maintenant j'entends de toute parts tes histoires où je ne suis plus en vedette, tes déconvenues ou tes conquêtes, et quand je parle de nous au pssé, on me riz au nez. Parce que je dis "nous", alors que nous n'existons plus l'un pour l'autre. Ils ont raison. and there's a part of me that still believes, my soul will soar above the trees. but a desperate fear flows through my blood, that our dead loves buried beneath the mud - Je prends consience de la nuque du chauffeur de taxi, du bruit monotone du moteur et du crépitement de la pluie sur le toit de la voiture. Le feu passe du rouge au vert, et je suis si fatiguée. Ces rues désertes aux trottoirs mouillés, sortir, se coucher tard, tout ce monde, cette sensation de brûlure intense dans la poitrine, les jambes cassées. J'ai du mal à respirer. Je n'ai envie de rien. Ni de dormir, ni de restée éveillée. Ni de manger, ni de boire, ni même de respirer. Je suis juste, complétement défoncée. La vérité se fait jour avec lenteur et me laisse vide...De toi...même de toi...ce que je m'en fiche. let's grow old together, and die at the same time.

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i said i've got no time i have to go, and i was more right then now i'll ever know. - Je rentre à l'hopital seule. Ma mère m'y a déposé puis elle est partie en prétextant qu'elle avait une réunion. Mais je sais qu'elle va aller se faire voir avec cet espéce de débile de Kurt ; l'archétype même du beau-père, il peut pas me voir, peut pas s'empiffrer ma soeur - ce qui nous fait un point commun - et il est complétement fauché. Une épave comme il en court les rues, mais Maman le garde parce qu'il paraît que c'est un bon coup, et parce qu'il s'appele Kurt, comme Cobain, c'est t-elle qui me la dit ou...est-ce peut'être Tabitha, j'en sais rien. Je m'en fiche. Et je erre dans ces couloirs blancs, comme un fantôme attendant son entrée au purgatoire. On me dévisage alors que je caresse comme une enfant les granit froid des murs, alors que mes paupières se ferment dans l'espoir de se rouvrir sur un monde plus beau. Et tout ce que je vois ces des points lumineux dansent devant moi en une danse macabre. « Je peux vous aider ? » Non tu ne peux pas, personne ne le peux. J'ai raté le train de ma vie, celui qui m'emmènerait loin de mes paradis artificiels. Il m'a laissé sur le quai, s'en est allé, laissant derrière lui un nuage de fumée noire destinée à m'aveugler. Et j'ai ratée l'heure de la fin, autant que l'heure du début. Et j'ai finit ma course contre un mur. he said my heart is faint, will minds regret, and left him crying next to the chapels steps. - « Je veux me faire examiner. » C'est là que je reléve la tête. Je croise son regard, particulier, reflétant sa jeunesse, son esprit, mon opposé. J'arriverais presque à voir mon reflet dans le bleu de ses prunelles mais tout ce que je vois, c'est elle. Une cascade de cheveux blonds encadrent son visage, et dire que j'ai fallit te prendre pour une fille banale. Tu ne l'ai pas, c'est indéniable. « Suivait moi. » Je te suivrais où tu voudra. Nous marchons ensembles dans les couloirs, nous jetant mutuellement des coups d'oeil peu discréts, mais tant pis. Je remarque une montre de chez DIOR à son poignet, je la regarde, la fixe, elle ne s'en aperçoit pas. Je crois même qu'elle m'ignore. Puis, hébétée, j'arrive en consultation et la regarde partir sans lui avoir adresser un mot. Sa nuque s'éloigne dans l'entrebaillement de la porte. Je soupire, déçue. A prétendre aucune conivence avec personne, je viens de laisser filer l'Embellie, l'Embellie de huit heure du matin heure locale. Je suis foutu. Tabitha elle-même s'en sort mieux que moi dans son asile de tarés, et Enzo lui aussi s'éclate à jouer aux basket avec une bande de salauds, pervers et psychotique. Je suis celle qui reste, et je détéste être celle qui reste. Lorsque je me remets à penser normalement, je capte les bribes d'une phrase qui vient sans doute d'être répétée. « Félicitations, vous êtes enceinte. » Félicitation, je suis enfin arriver au point de non retour. let's grow old together, and die at the same time

Merci
J'ai changer pour Teresa du coup. Mais j'hésite encore avec Kate Beckinsale. C'est sans fin.

Il est bien là le problème.
Bon, au risque de passer pour une dingue je vais prendre Teresa puis faire un double compte avec Kate. xD ça craint je sais, mais j'arrive vraiment pas a me decider.

Je me sens moins seule.

super choix en tout cas
Bonne chance pour ta fiche.
EDIT ; TES FICHES

Finalement, comme la personne qui a Katie en avatar n'a pas finit sa fiche et bien je l'ai prise. Je sais pas si j'ai le droit enfin.
Sinon, ma fiche est finie.