| | ALANIS ♦ « same shit, different day » | |
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+2V. Louis O'Doherty N. Alanis MacRae 6 participants | Auteur | Message |
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N. Alanis MacRae
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| Sujet: ALANIS ♦ « same shit, different day » Dim 6 Juin - 23:06 | |
| ALANIS NEVE MACRAE I • QUOI DE NEUF DOCTEUR? ORIGINES: Mon prénom indique ces dernières, enfin pour qui ne l'assimile pas avec une chanteuse canadienne. Alanis est un prénom gallois, quant à Neve, c'est irlandais. J'ai donc des origines irlando-galloises. Et j'en suis très fière. Le côté irlandais me vient de ma mère, mon père lui est donc gallois. Mais j'ai aussi des racines du côté de la France. NATIONALITÉ: Gallo-Américaine. Je suis née au Pays de Galles mais je vis aux Etats-Unis depuis près de 10 ans maintenant, j'ai donc acquis la double nationalité.LIEU ET DATE DE NAISSANCE: Cardiff, Wales, UK - 07.08.1981EMPLOI: Agent spécial au NCIS de Boston. Oui, ce n'est pas qu'une série télé super cool vous savez. PSEUDO/PRENOM: Dyspair, et oui encore moiGROUPE: : CitoyenAVATAR: Eve Myles COMMENTAIRE(S): I'm a Time Lord, Bitch! Non plus sérieusement, rien à redire, j'aime
Dernière édition par N. Alanis MacRae le Mar 8 Juin - 10:07, édité 4 fois | |
| | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Dim 6 Juin - 23:06 | |
| → Ne fume jamais. Préfère plutôt un bon verre de whisky ou de scotch, voir de vin. → Aime écouter de vieux vinyls, des classiques du rock ou des airs d'opéra. Beatles, Stones, Ramones, AC/DC, Queen, Deep Purple cotoient donc allégrement le Boléro, Carmen ou la Traviatta. → Dort avec son arme de service à portée de mains, généralement sur la table de chevet ou sous l'oreiller. → Allergique à la morphine, ce qui a déjà posé pas mal de problèmes à la suite de plusieurs blessures par balle. → Maîtrise la technique de close combat enseignée à tout agent du NCIS, ainsi que pas mal d'armes, avec une prédilection pour son SIG (un Sauer P228). Tireuse redoutable. → S'attache très rarement les cheveux, que ce soit au boulot ou chez elle. Ne le fait que pour aller sous la douche. → Aime boire son café du matin avec un nuage de lait et un peu de canelle. → Parle gallois courament, surtout quand elle est au téléphone avec sa famille. A gardé un léger accent quand elle parle d'ailleurs. → Fait un footing chaque fois qu'elle le peut, histoire de relâcher la pression et de se maintenir en forme physiquement. → Porte sans arrêt sa veste fétiche, une veste en cuir noir, un peu style perfecto. Collectionne les paires de Converses, en a déjà près d'une trentaine en sa possession. Ses favorites: sa paire rouge. → Sa sonnerie de portable, un gros clin d'oeil: le générique de la série NCIS. → Joue du piano régulièrement, en a un dans son appartement, mais n'a jamais appris le solfège, elle possède l'oreille musicale. → Ne porte jamais de jupes ou de robes, si ce n'est pas vraiment nécessaire. Préfère le confort d'un bon jean. → Adore regarder tomber la pluie, et ce depuis toute petite. Il lui arrive aussi de retomber en enfance en sautant à pieds joints dans de grosses flaques d'eau. → Pourrait dévorer son poids en pancakes et sirop d'érable. → Ne supporte pas qu'on parle aux animaux comme à des enfants. → A toujours regretté d'être enfant unique. → Chante sous sa douche, souvent à tue-tête, même si son voisin n'apprécie que moyennement. → Geek dans l'âme, elle connait tous de l'univers de Tolkien et d'Asimov. La faute à son cousin Malchiah. → Aime faire les mots croisés du journal du matin. → Machonne ses capuchons de stylo quand elle est énervée ou qu'elle réfléchit. → Ne porte jamais de parfum, parce qu'elle ne supporte pas certains composants utlisés. → Surnommée "Calamity Jane" par son coéquipier, à cause de son caractère et de ses capacités ballistiques. → Ne se maquille pas beaucoup, un coup de crayon un peu de mascara et voilà, le tour est joué. → Peut s'endormir n'importe où et dans n'importe quelle position, surtout quand elle est vraiment fatiguée. → Porte un vieux maillot de hockey comme pyjama. → Adore les films de James Bond, les a tous vu et aime beaucoup le dernier cru choisi pour incarner l'Agent 007. → N'aime pas ses pieds, elle les trouvent trop petits et bizarres. → Très fière d'être la marraine du fils de son cousin, un petit bout de chou nommé Arawn. → Jure souvent. Sait que ce n'est pas très féminin mais elle s'en fiche. Son juron préféré? "Crap" → Mange toujours ses bonbons par paire. → Avoue volontiers être parfaitement nulle aux jeux vidéos. → Arachnophobe proclamée, elle ne supporte pas de voir même à la télé la moindre petite araignée aussi minuscule soit-elle. Ironique quand on la connait pour sa témérité au boulot. → Connaît par coeur tous les épisodes et répliques cultes de FRIENDS. → A au-dessus de son lit une affiche de son film préféré: The Rocky Horror Picture Show. → Reine auto-procalmée des grimaces. → Son parfum de glace favoris c'est citron, elle n'aime pas du tout le goût café par contre, parce qu'elle estime qu'un café ça se boit. → Pas chatouilleuse pour un sou, sauf sous la plante des pieds. → Pour elle manger un cookie, ça s'accompagne forcément d'un grand verre de lait. → N'aie pas le genre à avoir un sac à main, préfère une besace portée en bandolière. → Très organisée au boulot, si ce n'est pas maniaque, chez elle en revanche c'est plutôt la tendance inverse mais si ça ne vire jamais au capharnaüm. → A un tatouage, sur la cheville gauche, qui représente un triskel, symbole celtique, mais de façon tribale. (clic) → Assume totalement son côté garçon manqué. → Ne cache pas que l'idée de fonder une famille lui effleure souvent l'esprit depuis quelques temps. → S'est promis d'apprendre à cuisiner autre chose que des pâtes ou des recettes "basiques" avant la fin de l'année.
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| | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Dim 6 Juin - 23:06 | |
| II • C'EST GRAVE DOCTEUR? « Ca, c'est bien ma fille. » « Connor arrêtes de l'encourager! » « Bah quoi, elle a eu raison, non? » « Ce n'est pas une raison. Ce qu'elle a fait est mal. » « Oui, mais n'empêche que je suis fier, elle a une bonne droite. » « Connor! » Je sais je sais, je suis une fille mais je n'ai jamais réellement agit comme tel dans mon enfance. J'ai vu le jour dans la capitale galloise, un beau jour d'été. Fille unique de Connor MacRae et Sinead O'Leary. Mes parents, les personnes les plus formidables que j'ai jamais pu rencontrer, et je ne dis pas ça parce que ce sont mes parents. Mon père, ce héros. Je sais je cite un titre de film mais il l'est à mes yeux. Partit de presque rien, il n'a jamais baissé les bras, et dieu sait qu'il en a vu dans sa vie. Je n'ai d'ailleurs jamais connu mon grand-père paternel, puisque ce dernier est mort le jour des 16 ans de mon père. Il était policier. Et mon père a toujours tout fait pour le rendre fier de lui. Il n'a pas suivi ses traces en s'enrôlant dans les forces de l'ordre mais il a batît son entreprise de ses propres mains. Mon père est ébéniste. Le travail du bois, ça vous enseigne l'humilité et la valeur de l'argent. Ma mère elle, elle aimait les enfants, issue d'une famille nombreuse, elle a toujours été entourée d'enfants, et s'est naturellement dirigé vers un métier en relation avec ce milieu. C'est une institutrice. On vient donc d'un milieu moyen, mais je crois que je n'aurais jamais pu être plus heureuse que ça. Très complice avec mon père, admirative du savoir de ma mère, j'avais les parents parfaits. Bon c'est vrai, il arrivait qu'on s'engueule à la maison, que je fasse des conneries aussi grandes que moi à l'époque. Mais tout finissait toujours par s'arranger. J'ai reçu tout l'amour dont un enfant peut rêver. Mon père m'apprenait à me battre, à pêcher, à me servir de mes mains pour tout et n'importe quoi. "Je ne veux pas d'une fille qui ne sait pas quoi faire de ses dix doigts, ah ça non!". Je l'entends encore répété ça à ma mère quand cette dernière râlait un peu parce qu'il m'emmenait toujours avec lui le dimanche matin, en escapade sur les hauteurs de la ville ou sur le port. Et je dois vous avouer qu'à 5 ans j'avais déjà une bonne droite. Je crois que c'est de là que doit venir mon côté garçon manqué. Je sais que mon père était ravi d'avoir une petite fille, mais qu'inconsciemment tout de même, il m'a légèrement élevé comme un garçon. Mais je l'en remercie quand même, car il m'a rendu sans le vouloir un fier service, ça m'a endurci, rendu plus débrouillarde aussi. Ma mère elle m'a transmis son savoir, sa passion d'apprendre tout un tas de choses juste pour le plaisir d'apprendre. Oui, je crois bien que si l'on avait eut plus d'argent, je n'aurai jamais eu tout ça. On voit si souvent des enfants de riches désoeuvrés qui deviennent plus tard des tyrans en puissance parce qu'ils croient que l'argent achète tout. Quelle bêtise. J'ai donc grandi comme ça, avec juste un petit regret, n'avoir jamais eu de frère ou de soeur pour partager ce bonheur là.
Quant à ce souvenir là, je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais à l'école, avec mon cousin Malchiah, qui avait mon âgé, à quelques jours près. Un petit caïd, le fils des Sullivan, Callum, s'était mis dans l'idée de malmener Mal, de le racketer de son goûter tous les jours, et de s'en servir comme punching ball. Vous connaissez sûrement le cousin rondouillard et débile d'Harry Potter, Dudley? Et bien Callum, c'était un Dudley en puissance. Aussi idiot et large que lui. La vraie terreur de l'école, tout ça parce qu'il était le fils d'un grand avocat. Alors ce jour là, après un énième rapt de goûter, j'en ai eu assez. Je revois la scène très clairement. Je lui tape sur l'épaule, il se retourne. Lui et ses copains se mettent à ricaner. Ces gros bras n'avaient rien à craindre d'une fillette comme moi, bien sûr, pour eux pas de danger. Ils auraient du y penser à deux fois. Avant même qu'il ne prononçe mon nom, ma main droite s'était fermée en poing et sifflait dans l'air attérissant directement sur son nez porcin. Le règne de terreur de Callum Sullivan prenait fin. Battu par une fille d'une tête de moins, qui pouvait honnêtement encore prétendre jouer les durs après un tel affront? Mais bien sûr, même si ce que j'avais fait était juste, je vous raconte pas la danse que je me suis prise en rentrant. Enfin pas tout à fait. Ma mère était gênée, parce ce qu'elle craignait qu'on ne me colle l'image de la fille mal élevée, mais au final, tout c'est bien passé. Mon père était fier de sa fille et de son crochet du droit et même le père de Callum m'a félicité. Lui n'arrivait pas à calmer son fils, en fait je lui avait rendu service, et aussi à tous les autres mômes que son fiston terrorisait dans la cour de récré. Je crois bien que c'est depuis ce jour là qu'un certain désir de justice est né en moi. De pair avec l'image de garçon manqué qui me suivrait pour le reste de ma vie. « Tu vas vraiment partir? M'abandonner comme ça? » « T'abandonner? T'as deux frères et une soeur, comme si t'allais être seul au monde. » « Ouais, mais avec mes frères c'est différent. » « Et en quoi? J'ai quoi de si différent? » « Bah... Disons que tu es l'amie parfaite, une fille qui a tout d'un gars. Sauf les seins bien sûr. » « Pervers! » C'était l'été de mes 17 ans. Une belle journée de fin de juillet. On avait tous passé la journée à pique-niquer sur les collines du parc, toute la famille était là. On devait être près d'une cinquantaine. Mon père et sa soeur, ma mère et ses trois soeurs et son frère, mes grands-parents, ma grand-mère paternelle et son nouveau "copain" comme elle disait, les maris/femmes de chacun, les enfants et quelques amis. Autant vous dire que c'était un sacré bordel, mais un des meilleurs moments de l'année aussi. Après le repas, chacun papotait dans son coin, et comme toujours, Malchiah, dit "Mal" et moi, trainions ensemble. On nous apellait souvent les jumeaux à cause de ça, et bien sûr parce qu'on était nés à tout juste 4 jours de différence. Allongés dans l'herbe, profitant de l'ombre des arbres au-dessus de nos têtes pour digérer le repas et s'écarter du brouhaha ambiant, on discutait de tout et de rien. Quand le sujet qui fâche fini par refaire surface. J'avais reçu quelques jours plus tôt une grosse enveloppe, estampillée USA, m'anonçant que j'étais acceptée dans une grande université, avec en prime une bourse d'études obtenue aux vues des bonnes notes que j'avais eu tout au long de mon cursus scolaire. Mes parents étaient eux aussi assez mitigés sur cette affaire. Ils étaient très fiers de moi bien sûr, mais aussi tristes que je parte faire mes études si loin de mon foyer, de ma famille. Moi aussi j'étais un peu triste à l'idée de partir, de quitter la ville qui m'avait vu naître, mes amis, ma maison, mais je sentais au fond de moi que c'était ce qu'il fallait faire, si je voulais devenir quelqu'un. Celle que je devais être. Mais le plus attristé c'était bien entendu mon cousin, avec qui jusque là j'avais toujours tout partagé, galères comme joies. La conversation avait donc commençer sur le ton de la boutade. Comme s'il pouvait encore me convaincre de rester, de continuer à lui tenir la main avec les filles, d'être là pour lui. C'était adorable, tout à fait le genre de Mal à vrai dire. Un vrai gros nounours. Avec un appareil dentaire en plus. Méchante? Non, puisqu'il se décrivait comme ça lui-même. Puis j'ai toujours eu du répondant, ce n'est donc pas comme s'il ne le savait pas. Après ça, un silence, puis je lui avais expliqué. Expliquer pourquoi je voulais partir étudier dans un pays totalement différent du mien, que ça faisait déjà depuis longtemps, des années que j'y pensais, que c'était presque comme si c'était déjà écrit. Bien que je ne crois pas au destin ou à ce qui y ressemble. Un rêve de gamine oui, on pouvait dire ça comme ça. Je voulais arpenter les grandes allées des campus à l'américaine en portant dans mes bras mes bouquins, boire des cafés en papotant sur les gazons verts, découvrir des nouveaux visages. Mal argumenta que je pouvais faire exactement la même chose en allant étudier à Londres, avec lui. Et c'était absolument vrai. Mais bon, comme un signe providentiel, mon dossier était arrivé comme un feu vert éclatant au départ d'un grand prix. Ma décision était prise, rien ni personne ne me ferait changé d'avis. Mais je lui avais fait une promesse, que je tiens encore depuis tout ce temps. L'apeller au moins une fois par semaine, pour garder le contact. A vrai dire, si ce n'est un océan qui nous sépare en vérité, rien n'a changé dans notre amitié. C'est toujours lui que j'apelle quand je vais mal, que j'ai un coup de blues ou envie de papoter en plein milieu de la nuit. C'est bien pour ça que je suis devenue plus tard la marraine de son fils.
Ainsi donc, à tout juste 17 ans, je quittais Cardiff, ma famille pour de nouvelles aventures en terre inconnue. A moi la vie trépidante d'une jeune étrangère en Amérique. Les premiers temps, l'adaptation à ce nouveau mode de vie, de pensée n'a pas été simple je l'avoue, mais j'ai toujours su m'adapter assez rapidement à ce qui m'entourait. Après quelques semaines, j'étais devenue une étudiante parmi tant d'autres, qui ne se perdait plus dans l'immense dédale du campus, et déjà entourée de quelques bons amis. J'ai donc suivi mes deux cursus, sociologie et criminologie, tous les deux bouclés avec succès. La vie s'offrait à moi à partir de là. Oui mais que faire de tout ça? J'avais deux beaux diplômes flambants neufs en poche, mais que faire avec? Et comme toujours quand j'avais besoin de conseil, d'être rassurée, un petit voyage chez moi, au Pays de Galles, était nécessaire. Un retour aux sources quoi. Et c'est ma mère, qui encore une fois a été mon ange gardien en me disant que tout s'arrangerait pour moi. Qu'il suffisait que je crois en moi pour que ça marche. Après deux mois de vacances passés en famille, je retrouvais donc mon petit appartement à Boston avec la conviction que je finirais par trouver ma voie. Elle s'est imposée à moi quelques semaines plus tard parfaitement par hasard. J'étais au stand de tir, comme je le faisais une fois par mois (une tradition héritée de mon père et de sa prédilection pour la chasse) quand un homme est venu me voir. J'ai cru d'abord au plan drague, et au final j'ai décroché un job. Et pas n'importe lequel. Après des semaines d'entrainement, je rejoignais officiellement les rangs des services d'enquêtes criminels de la Navy, ou si vous préférez, le NCIS, dans son antenne à Boston. C'est pas beau la vie parfois? crédits icons: torchwood_icons
Dernière édition par N. Alanis MacRae le Mar 8 Juin - 11:24, édité 2 fois | |
| | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Dim 6 Juin - 23:07 | |
| « Fais gaffe MacRae, j'pourrais bien m'habituer à t'avoir dans mon lit chaque matin. » « Et j'pourrais bien finir par supporter ton matelas pourri. » « Je te l'avais dis, toi aussi tu finirais par succomber à mon charme. » « Tu parles, j'ai eu pitié de toi et c'était un bon moyen de te faire taire. » « Tu sais que je t'aime toi. » « Je sais, moi aussi Don. Maintenant va te doucher, tu sens le bouc. » On est pas fait pour rester seul. Une vérité que mon père m'avait toujours répétée petite. Surtout quand il me racontait pour la énième fois comment il avait séduit ma mère. Bien sûr, j'ai eu des petits copains avant ça, j'en avais déjà eu au lycée, un ami à Mal, puis Justin avec qui je suis restée jsuqu'à obtenir mon bac. Mais jusque là ça n'avait jamais été, vous savez, le déclic, la révélation. Je ne dis pas que je n'ai pas aimé mes ex's non, pas du tout, je les ai tous aimé, certes pas tous de la même manière mais je ne suis pas du genre à jouer avec les gens, même si certains peuvent le penser vu mon caractère. Pour beaucoup d'ailleurs, je dois être une célibataire pure et dure, vu mon sarcasme permanent, ou carrément lesbienne vu que j'ai des manières de mec. Les on dit, y en aura toujours. Ca ne m'a jamais arrêté, je sais ce que je vaux et ça me suffit. Et dès fois je l'avoue, j'aime jouer avec ces rumeurs, juste pour m'amuser à jeter le trouble, précisement pour leur montrer que les apparences sont trompeuses...ou pas. Et au final, j'ai un peu été prise à mon propre jeu. Mais pour ma défense, il l'avait cherché. Don Carpenter. Cet espèce de macho sans nom. Mon coéquipier. Je sais, ne jamais mélangé boulot et privé. Mais on ne fait pas toujours ce qu'on dit c'est connu non. Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Et je ne sais plus trop comment c'est arrivé, puisque je ne pouvais pas le supporter. Mais c'est après avoir frôlé la mort que j'ai vu les choses différement. J'avais pris une balle perdue, passée par le côté de mon gilet et qui avait atteint les poumons. Mais heureusement pour moi, elle n'avait fait que les titiller. Mais ça m'a quand même vallu près de deux mois d'hospitalisation. Et c'est au cours de ces deux mois que j'ai appris à connaître le vrai Don, celui dont je suis petit à petit tombée amoureuse. Au début ça n'a pas été facile. Au contraire, les habituelles piques qu'on se balançait dans la journée avaient eut tendance à se multiplier et à devenir plus...vilaines pour rester correcte. On devenait comme chien et chat, ou comme le disait Stephen, un autre membre de l'équipe, comme un vieu couple marié. Bien évidemment on a niés l'évidence durant des semaines, voir des mois. L'ambiance de travail en prenait un coup, ça devenait un peu plus difficile de ne pas admettre qu'il se passait quelque chose. Et un soir, ce qui devait arriver arriva. Mais bien sûr, ça n'avait pas simplifié les choses en premier lieu. Des piques à profusion on été passé au quasi silence radio. Parce qu'aucun ne voulait réellement admettre ce qu'il ressentait. Ca a demandé encore un bon mois, et puis ça c'est fait, doucement. Une nuit par-ci, une autre par-là, des afffaires laissées chez l'un ou chez l'autre, des regards complices, ou parfois jaloux. Et avant de dire ouf, oui, on été un couple. Mais un couple qui devait se cacher. Ca a bien sûr ses bons côtés, les baisers volés, les regards qui en disaient long, mais aussi le fait de ne rien pouvoir dire à personne, à devoir faire comme si de rien n'était. Mais enfin ce bonheur de se savoir aimer comme on est, de voir la vie à deux se profiler. Les projets qu'on fait... Et le fond du gouffre.
Une minute, soixante secondes. C'est tout ce qu'il avait fallu pour que tout se briser en mille morceaux. Un piège, fatal. Implaccable. Toute l'équipe avait été blessée, mais parce qu'il m'avait protégé, il y été resté. Juste le temps de lui dire au revoir. Un dernier baiser avant de sentir son dernier souffle contre ma joue. Tout ce que je sais c'est qu'à la fin, mon chargeur était vide et qu'on comptait quatres types alignés au sol. Sous l'impulsion d'une colère fulgurante j'avais voulu apaiser ma douleur. Celle-ci pouvait commençer à s'estomper quand le responsable de tout ça été condamné à finir sa misérable vie derrière des barreaux. Deux ans ont passés et pourtant je n'arrive pas à oublier. A me remettre, à tourner la page, à me dire que l'amour n'est pas mort, pas avec Don, et à savoir qu'il aurait sûrement voulu que je le fasse. Trouver un autre homme, refaire ma vie et avoir cette famille qu'on voulait construire. Mais c'est encore trop dur. Et je peux vous dire que même si la vie à repris son cours, que je me démène toujours autant au boulot, quand je rentre chez moi, c'est parfois difficile d'y croire encore, qu'on a tous le droit à un coin de bonheur dans ce monde. Mais bon, qui sait ce que l'avenir nous réserve. crédits icons: torchwood_icons
Dernière édition par N. Alanis MacRae le Mar 8 Juin - 12:16, édité 3 fois | |
| | | V. Louis O'Doherty ICEBERG ♠ My heart feels dead inside, it's cold and hard and petrified.
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Lun 7 Juin - 6:47 | |
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| | | Mercy Fitzgerald ADMINETTE • there must be a devil between us
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| | | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Lun 7 Juin - 10:31 | |
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| | | Bayrdie Warhol
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| | | | Adam J. Thomas
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Lun 7 Juin - 12:50 | |
| Bienvenue! MacRae ça me fait penser à Colin le pilote! Bonne chance pour la fiche! | |
| | | N. Alanis MacRae
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| | | | V. Louis O'Doherty ICEBERG ♠ My heart feels dead inside, it's cold and hard and petrified.
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| | | | Mercy Fitzgerald ADMINETTE • there must be a devil between us
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| | | | N. Alanis MacRae
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| | | | V. Louis O'Doherty ICEBERG ♠ My heart feels dead inside, it's cold and hard and petrified.
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| | | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Lun 7 Juin - 20:39 | |
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| | | Thalie Nielson
Messages : 53 Date d'inscription : 27/05/2010 Pseudo : Chou
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Lun 7 Juin - 20:57 | |
| Bienvenue | |
| | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Mar 8 Juin - 12:17 | |
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| | | Mercy Fitzgerald ADMINETTE • there must be a devil between us
Messages : 598 Date d'inscription : 28/04/2010 Age : 113 Copyright : PAWEKE Pseudo : GIULIA.
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| | | | N. Alanis MacRae
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » Mar 8 Juin - 17:59 | |
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| Sujet: Re: ALANIS ♦ « same shit, different day » | |
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| | | | ALANIS ♦ « same shit, different day » | |
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