Will — La poésie est mémoire, mémoire de l'intensité perdue...

I • QUOI DE NEUF DOCTEUR?

ORIGINES: "Pritchard euh, comme Luke ?!" idiote. Comment faire comprendre aux gens qu'un nom ne veut pas dire grand chose. Certes, y a de l'Angleterre là dessous, puisque c'est le pays paternel, mais je suis bel et bien né aux Etats Unis. Tout comme ma mère et sa famille.
NATIONALITÉ: Américaine
LIEU ET DATE DE NAISSANCE: Chicago, USA, le 17 mars 1980
EMPLOI: En gros, j'ai repris la fonction de mon grand père dans une entreprise d'import export, faisant rager les petits actionnaires qui n'attendaient qu'une chose: récolter leur part du butin. Tout ca consistant à prendre des décisions, signer des papiers, et leur clouer le bec.

III • CONSULTATION

• A perdu ses parents très jeune, dans un accident de voiture
• N’a jamais réussit à aller sur leur tombe, mis à part le jour de l’enterrement
• Voue un culte à Clint Eastwood
• S’est cassé le petit doigt quatre ou cinq fois en frappant contre divers murs, portes, tables…
• Parle anglais, espagnol et russe
• Russe parce que les plus jolies filles de la fac allaient à ce cour, Espagnol parce que la prof était la moins moche du lot
• Prend son café bien noir
• Les Ramones ont rythmé son enfance
• Hemingway ses nuits
• Pense qu’avoir la tête dans les étoiles est une bonne chose
• Chante faux
• Chante quand même
• A demandé à un ami gay de lui apprendre à danser pour le mariage de sa cousine
• Mariage auquel il n’a pas pu aller, vu que son grand père était en pleine crise
• S’est toujours dit que Nelly Olson était une garce
• Et Laura Ingals une jeune frigide
• Sa première copine ne faisait que chanter Wannabe, et sa Spies Girl préférée était Posh
• Voulait ressembler à Drasic dans Hartley coeur à vif
• Aurait aimé fumé, il parait que ça donne l’air classe. Ouais, mais l’arrière goût que ça laisse le rend malade, alors… non
• Star Wars n’a aucun secret pour lui
• Pense s’acheter un ticket pour l’espace, d’ici quelque temps
• Aime bien cette fille, aux cheveux blonds
• Dieu s’appelle Jordan
• Et ses prophètes les Bulls
• Se dit qu’il a bien le droit de faire une crise de la trentaine
• Mais ne voit pas comment, ni à quoi ce servirait
• Ne veux pas s’attacher
• Ou plutôt, ne pas se faire lâcher, encore
• Aime les animaux, surtout chez les autres
• Et encore pleins d’autres choses…

IV • L'ORDONNANCE

PSEUDO/PRENOM: Lumix
GROUPE: : Citoyen
AVATAR: Henry Cavill
COMMENTAIRE(S):

II • C'EST GRAVE DOCTEUR?

« Parlez moi… je sais que c’est dur mais » « Mais quoi ? Qu’est-ce que vous en savez de toute manière, vous aussi vous avez dû faire face à l’amnésie de la seule personne qui vous reste ? Vous aussi ? Merde ! » Il se détourna violemment de la jeune femme. Une jeune interne, si il avait bien compris, celle qui était en charge de son grand père. Alzheimer avait été décelé il y a un an de ça, mais jamais une crise n’avait été aussi forte, il c’était mis à hurler en pleine rue, ne reconnaissance personne, si bien que Wilson avait été obligé de à l’hôpital. Il y a un mois de ça. Et cette jeune femme, Lewis si il avait bien retenu le nom par lequel un de ses collègue l’avait appelé, elle s’était montrée vraiment adorable avec lui, avec Graham aussi, le vieil homme. Mais à un certain stade, alors que la plus grana figure de sa vie perdait peu à peu la mémoire, Will perdait patience. Seulement elle n’y était pour rien, et le fait de s’énerver contre elle ne servait pas à grand-chose. Il prit quelques minutes pour se calmer, visiblement elle c’était replongée dans des dossiers, mais là n’était pas la question. Il revint vers elle à pas lent, coupable des mots, et se planta derrière elle. « Excusez moi, je n’avais pas à crier comme ça. Et puis je ne suis pas intéressant, vous savez. Mais là n’est pas la question. Je sais que vous n’êtes pas obligée de faire tout ça, et je vous remercie. Il est… important, vraiment. Alors hum… tenez, c’est ma carte, si il se passe quoi que ce soit, prévenez moi. Et encore merci. » il ne lui avait pas laissé le temps d’ajouter quoi que ce soit, il s’était tourné, et dirigé vers l’ascenseur enfonçant ses mains dans les poches de sa veste. Le lendemain, elle l’appelait pour lui donner des nouvelles de Graham, et lui demander si il acceptait un certain traitement. A vrai dire… la médecine étant loin d’être son domaine, il ne pouvait faire confiance qu’à la jeune femme, alors il avait dit oui. Une semaine plus tard, c’est lui qui appelait… pour savoir comment il allait, et pour parler. Ça, c’était il y a un an.

« Will ? Suis moi dans la salle de repos, je t’offre un café. » plus de monsieur Pritchard, plus de mademoiselle Abernathy. Elle n’avait pas vraiment le droit de l’emmener dans ces salles réservées au personnel, mais le fait est qu’elle prenait le droit. Tout comme celui de se lier avec la famille du patient. « C’est quoi cet essai ? » « Écoute, l’hôpital est bourré de spécialistes qui veulent tenter de hum… stimuler une partie du cerveau, si tu veux, pour que la mémoire soit ensuite déclanchée par un espèce de mécanisme lorsque le cerveau se mettra sur pose. » « D’accord, mais c’est dangereux, ou non ? » « Tu sais très bien que… » « Dangereux ou non Lewis, c’est simple. Tu sais très bien que si tu me dis non, je te croirais. Mais faut il encore le dire. » Elle lui avait patiemment expliqué les risques, les conséquences que cela pourrait avoir, pour finalement faire quelque chose qu’elle n’était en aucun cas autorisée à faire: donner un avis qui serait décisif. Elle pensait qu’il était bien d’essayer, il lui donnait son feu vert. Seulement quelques jours avant l’opération, Graham avait eu une crise assez violente, et avait fait une chute, qui l’empêchait de subir pour le moment une intervention. Chute qui lui avait valu d’être encore plus visité par son petit fils. « Je suis désolée Will, mais c’est foutu pour aujourd’hui… » « Si cette fois c’était définitif. Si cette fois il ne recouvrait jamais la mémoire, tu me le dirais ? » « Bien sure. Hum… je fini mon service dans un quart d’heure, si tu veux on continu d’en parler devant un verre ? » « Je t’attend dehors. » C’est toujours comme ça. Ils prétextent une discussion innocente sur l’état de santé du vieille homme, alors qu’il lui avait fait jurer lors d’un dîner de ne pas parler de lui hors de l’hôpital. Bien sure, les premières minutes il était le sujet de la conversation, mais les heures suivantes n’étaient qu’à eux. Facile de détourner la chose, à vrai dire. Il lui a pourtant maintes fois dit qu’il n’était qu’un petit fils d’entrepreneur qui avait simplement pris la suite de l’homme qui l’avait élevé après le décès de ses parents, qu’il n’était pas très intéressant, plutôt taciturne, mais elle ne semblait pas vouloir le croire. Alors ils se voient, plusieurs fois par semaine de manière officiel lorsqu’il vient rendre visite à l’homme qu’il a connu, et quelques fois officieusement, lorsqu’il partage un verre, un dîner ou une promenade. Ainsi va la vie.

Bienvenue Will !
Pritchard ça me fait penser à Greg Pritchard le mec qui chante avec une voix d'opéra!

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Bienvenue

RAAAAAAAAAH. Henry... Bienvenue.