CLARE-DAISY GRAYSON ♥ 100%

CLARE-DAISY GRAYSON

I • QUOI DE NEUF DOCTEUR?

ORIGINES: Américaine
NATIONALITÉ: Américaine
LIEU ET DATE DE NAISSANCE: 4 mars 1984 à Boston
EMPLOI: infirmière en puériculture.

III • CONSULTATION

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Je m'appelle Clare-Daisy Grayson. J'ai 26 ans, je suis infirmière en puériculture. Je suis née à Boston et j'adore cette ville. Dans ma famille on est pas vraiment des têtes si vous voyez ce que je veux dire. Ma mère pourtant intelligente n'a pas eu les moyens d'exploiter ses aptitudes, elle rêvait d'être peintre et bien elle a finit serveuse dans un bar minable de Boston. Mon père lui il s'est barré alors que j'avais deux ans. Depuis on a eu quelques contact mais on est pas proche lui et moi. Je suis fille unique. Ce que j'aime faire par dessus tout c'est rire. Tout le monde dit que j'ai un rire super communicatif. Et tout le monde dit aussi que je suis une battante et que malgré le faite que la vie ne m'ait pas donné beaucoup de raison de croire au bonheur et bien je suis une jeune femme tout à fait épanouie qui ne se repose pas sur ses acquis et qui cherche sans cesse à se dépasser. Ce que j'aime aussi se sont les enfants. Je rêve de tomber enceinte, mais avant ça faut trouver le bon gars. Et pour l'instant niveau mec j'ai toujours pas tirer le bon numéro... Je suis une fille énergique qui ne supporte pas rien faire. La seul chose qui est contraire à ce que je viens de dire c'est que j'adore faire des grasses matinées. Mais sinon je suis loin d'être fainéante. Voilà on m'appelle souvent Tree, parce que je suis tombé d'un arbre étant petite mais sinon c'est Clare ou Daisy.

IV • L'ORDONNANCE

PSEUDO/PRENOM: SOULMATES/SANNOMFIXE

GROUPE: : infirmier
AVATAR: Rachel Bilson peut-on me la réserver ? I love you

COMMENTAIRE(S): JEKEAFF

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II • C'EST GRAVE DOCTEUR?

« Clare. CLLLLLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAREEEE! » Je suis tombé de l'arbre du jardin à 6 ans. Et ça tout le monde le sait, alors à chaque fois que je me met à rire de mon rire si puissant et si distinctif tout le monde me dit. « Ah ça Clare c'est parce que tu t'es cogné la tête en tombant de l'arbre. » Et je met encore plus à rire. Alors oui je suis tombé de l'arbre du jardin à 6 ans, mais j'ai rien eu de grave mise à part un poignet cassé. Vous êtes surement en train de vous dire « mais qu'est ce qu'elle nous raconte on s'en fou de sa chute. » Ouais ouais ben quand vous saurez où je veux en venir vos direz « oh c'est choumignontoutplein. » Je vous raconte. La petite Clare-Daisy est une enfant qui ne tient pas du tout en place. Elle passe son temps à courir partout, à sauter et grimper sur tout ce qui est accessible pour ses petits bras. Et quand ça l'est moins accessible comme par exemple un arbre qui se trouve au milieu de son jardin, et bien elle redouble d'effort et d'ingénieusité. Alors elle a prit la vieille chaise qui traine dans le jardin depuis bien plus longtemps que sa naissance. Elle y ajouta un vieux tas de je ne sais quoi et c'était bon elle était assez haute pour atteindre l'arbre qu'elle convoitait si durement. Une fois dans l'arbre elle avait ce sourire qui montre sa fierté d'avoir accomplit une action si durement désiré depuis tant d'année. Grimper à l'arbre magique comme elle l'appelait. Clare est une fille qui ne manque pas d'imagination, et qui est toujours dans son monde à combattre des dragons invisibles et à voler sur un papillon géant. C'est de manière totalement hasardeuse qu'elle partit à l'ascension de l'arbre, sans se préoccupé du moment où il faudrait redescendre. C'est là qu'elle mit ses jolis petits pieds sur la branche qu'il fallait pas, elle était bien trop fine et bien trop frêle pour pouvoir supporter le poids d'une petite fille. C'est comme ça que Clare-Daisy se retrouva par terre à pleurer de toute les larmes de son corps. Sa mère qui avait entendu un lourd craquement sortit brusquement de la cuisine en hurlant « Clare. CLLLLLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAREEEE! » Ouais je sais j'ai un don pour raconter les histoires hein. Ok ma gueule, je continue de raconter. La jolie petite Clare avait terriblement mal au poignet comme une douleur perçante qui lui sciait son jolie petit os. Sa mère qui perd tout ses moyens, qui se maudit de ne pas avoir préparé le diner plutôt comme ça elle aurait pu la surveiller plus attentivement. Sa mère qui la porte dans ses bras, qui éteint le four, ferme la porte de la maison et pose sa petite fille dans la voiture. Elle conduit à vive allure ne supportant pas d'entendre sa jolie petite fille pleurer. C'est là que nos deux gentilles et jolies protagonistes atterrirent au Chandler Regional Hospital. En attendant un médecin une infirmière s'occupe de la petite Clare. « Qu'est ce qui se passe ma petite ? Où à tu mal ? » La petite Clare est éblouie par la jeune femme qui lui parle. Elle est si gentille, soudainement la petite fille arrête de pleurer bien que son poignet lui faisait toujours mal. « J'ai mal au poignet. Je suis tombé de l'arbre magique. » L'infirmière regarda la jeune fille avec un regard attendrissant. « Oh l'arbre magique ? Tu connais l'arbre magique toi aussi ? » La petite fille fut surprise, elle écarquilla les yeux et poussa un soupir de surprise. « Tu connais l'arbre magique ? Comment ça se fait madame ? » L'infirmière souriait, et c'est comme ça que la jolie petite fille arrêta de pleurer pour parler de son arbre magique avec l'infirmière. Un médecin arriva par la suite, et examina Clare il conclu qu'elle avait le poignet cassé, on lui fit un plâtre et lui prescrit des médicaments pour la douleur. Elle rentra chez elle, et était heureuse d'être tombé de l'arbre magique parce que sans cette chute elle n'aurait pas pu dire à sa mère en rentrant. « Maman la madame qui s'est occupé de moi c'était une firmière ? » Sa maman sourit. « Non mon cœur une infirmière. » La petite fille sourit et dit en montrant toute ses dents. « Plus tard moi aussi je serais une firmière. » Je vous avais dit que vous allez trouver ça mignon bande de fou. Bon j'étais petite hein un jour plu tard je voulais devenir factrice parce que le facteur m'avait donné un bonbon. Mais en grandissant j'ai pris du recul sur ce qui s'est passé ce jour là et je me suis dit que je voulais être là pour une futur petite fille, pour lui remonter le morale quand elle allait pas bien. Et c'est comme ça que je suis devenue infirmière en puériculture dans ce même hôpital. Et franchement j'adore ça.

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« PUTAIN! Mais c'est quelle frappe fort la demi-portion. » suivit d'un rire de merde qui m'a mise hors de moi. Ce type il m'a regardé comme si j'étais un bon petit morceau de viande qui grille sur le barbecue et qui nous donne faim. J'étais en train de faire les courses merde, c'est pas le moment de me faire chier en me reluquant comme un porc. Alors je lui ai dit. « Qu'est-ce que vous voulez ? » Et ce porc il m'a répondu. « Ce que je veux c'est toi et moi dans un lit, ou autre part si tu préfère des endroits hors du commun moi je m'adapte à tout tes désirs ma belle. » Je crois que si j'avais vu ma tête à ce moment là je me serais foutu de me propre gueule. Ouais j'ai du faire le genre de grimace qui veut dire que je suis totalement dégouté. Et puis il s'en suivit un bruit de claque très distinct. Le type il l'a pas sentit venir, et j'ai pu percevoir avec délectation un regard de surprise mêlé à de l'admiration. Je ne pu retenir un rire franc et massif. « PUTAIN! Mais c'est quelle frappe fort la demi-portion. » Mon rire s'arrêta net au mot demi-portion. Je l'ai regardé noire. « Tu sais ce qu'elle te dit la demi-portion ? Et bien de te la fermer et de rester loin de moi à moins que de mourir écrasé par un cadi ça te branche ? » Et là il se recula et se prit le rayon des boites de conserve dans le dos. Il manqua de tomber ou de se faire assommé par une boite de conserve j'étouffai un rire. « Quoique tué par une boite de conserve c'est pas mal aussi. » Et puis je suis partit, et je ne l'ai JAMAIS REVU. Qu'est ce que j'aurais aimé dire ça... L'autre jour je bossais à l'hôpital quand je suis tombé nez à nez avec lui. Un médecin lui disait d'attendre une infirmière allait s'occuper de lui. « C'est elle que je veux. » Oh non, oh non. Le médecin lui dit que j'étais infirmière en puériculture que je m'occupais pas des patients des urgences. « Elle peut bien faire une exception, c'est une vieille amie. » Et le médecin acquiesça. Je me mordis les lèvres. Il s'installa sur un lit, et je me prépara à désinfecter sa plaie. « Alors comme ça t'es infirmière. J'aurais du m'en douté, c'est tellement sexy comme métier. Je crois que je vais venir plus souvent à l'hôpital. » Je ne répondais pas, et je ne le prévins pas que ça allait lui piqué, j'appuyai très fort sur la blessure. « Mais fais gaffe ! Sois plus douce ma belle. » J'appuyai d'avantage. « De un je suis pas ta belle. De deux je t'ai menacé de te tué à coup de cadi dans une supérette remplit de monde. Que crois tu que je sois capable dans un hôpital remplit de produit nocif. Imaginons que ce que je viens de mettre sur ta petite blessure de chochotte ne soit pas du tout du désinfectant imaginons que ce soit un produit très nocif à ne surtout pas appliqué sur des plaies ouvertes. Imaginons que je prenne une de ces seringues là et j'utilise un de ces produit pour diabétique qu'il y a dans cette armoire plus loin tu sais l'insuline. Et tu sais surement qu'à une dose trop élevé cela peut être mortel non ? Regarde moi, j'ai l'air de rigoler ? Non je ne rigole pas alors tu vas arrêté de m'appeler « ma belle » et si un jour tu me recrois tu m'ignore totalement sinon je ne répondrais plus de moi. » Il ne dit rien, il se contenta de sourire. Et je fis signe à un interne qu'il était près à être recousu. Je m'éloigna en enlevant mes gants. « Je sais que tu es folle de moi. Vous êtes toutes folle de moi et toi encore plus que les autres ma belle. » Je ne me retournai pas je lui dis juste. « La prochaine fois j'espère que tu te coupera entièrement la main et que tu te videras de ton sang crétin. » Cette dernière rencontre elle doit remonter à une ou deux semaines peu être. Et depuis ce type me hante. Je fais des rêve très peu catholique avec lui depuis des jours. Une fois je suis réveillé et j'ai cru qu'il était là torse nu dans mon lit à e regarder dans les yeux, avec son regard si sexy et son sourire magnifique. Merde je m'emballe un peu trop... Dégage de là squatteur.