CLEO - finalement qui peut dire ce qui est vrai ?

I • QUOI DE NEUF DOCTEUR?

ORIGINES: Anglaise par sa mère, Amércaine par son père.
NATIONALITÉ: Américaine
LIEU ET DATE DE NAISSANCE: 24/06/1986 à Los Angeles
EMPLOI: Ayant arretée ces études à seize ans, elle a pendant un temps été serveuse pour essayer de faire des efforts puis à abandonné. Aujourd'hui, elle ne vit plus que sur la fortune de ses deux parents.

II • C'EST GRAVE DOCTEUR?

« - Cléo il est l'heure ma chérie, il faut y aller. - Mais maman je t'ai déjà dit que la police nous attend dehors pour m'arrêter. Pour me jeter en prison pour protéger un secret d'Etat. Non franchement je voudrais bien venir avec toi, mais j'ai trop peur de me faire prendre. - Chérie, personne ne veut te mettre en prison. Aucun policier n'est dehors ma grande. - Mais, je les ai vus ! Ils sont là, ils m'attendent. - Ca m'étonnerais beaucoup. - Pourquoi tu ne me crois pas ! Tu es de mèche avec eux c'est ça ? Tu veux aussi que je meurs ? » D'un grand revers du bras, Cléo envoya balader son bol de céréale encore à moitié plein. Elle se leva d'un bond et s'enfuit jusqu'à sa chambre, claquant la porte bruyamment pour montrer sa colère à sa mère. Caroline Haylliae se pris la tête entre les mains. Ses coudes posés sur la table en bois de la cuisine, elle se laissa divaguer durant quelques secondes. Pourtant, depuis le temps, elle aurait dû avoir l'habitude. Mais ce n'était pas le cas. Voir sa fille dans cet état totalement improbable la faisait souffrir à chaque heure du jour. Qu'avait-elle bien pu faire pour mériter ça ? Rien évidemment. Tout le monde s'accordait à dire que Caroline avait toujours été une mère formidable et surtout les médecins lui avaient expliqués de nombreuses fois qu'elle n'était en aucun cas responsable. Personne ne savait réellement d'où pouvait arriver cette maladie. Elle était là, tout simplement. Un jour, elle se déclarait et un long cauchemar débutait. Cette idée fixe que la police allait venir la chercher, Cléo la développait depuis le premier jour. Cela avait d'ailleurs été le facteur qui avait mis la puce à l'oreille de sa mère. Bien sûr il y avait depuis quelques temps déjà un changement de comportement considérable dans l'attitude de Cléo, mais il ne semblait pas être trop conséquent. Et puis à quinze ans, beaucoup d'enfants ont besoin de s'affirmer non ? De montrer qu'ils sont aussi des adultes, qu'eux aussi ils souhaitent faire des choix. Caroline avait donc accepté ces changements. A vrai dire, elle s'y était même préparée depuis plusieurs années, car elle était sûre que cette crise finirait par arriver. Mais si ça n'avait été que cela ! Caroline en bénirait le ciel chaque instant. Non, le changement de Cléo était beaucoup plus grand, beaucoup plus dur. Le jour précédent, Caroline avait été appelé par l'école pour une affaire de la plus haute importance. Inquiète, elle s'était de suite rendue chez la principale, sachant pertinemment qu'elle n'en sortirait que plus malheureuse. Et ce fut le cas. Pendant plus d'une heure elle discuta, ou plutôt écouta cette femme lui raconter que Cléo s'en était pris physiquement à plusieurs de ses camarades et à son professeur d'histoire lors d'un cours d'éducation civique à propos de la police des Etats Unis. Et les mots étaient tombés. Les phrases toutes plus dures les unes que les autres avaient été prononcées. « - Nous ne sommes plus en mesure de recevoir Cléo dans notre établissement. Nous pensons sincèrement qu'elle a besoin de suivre un traitement pour calmer son gros problème. Nous en sommes désolés. » Il n'y avait alors plus d'espoir. Cléo ne retournerait plus à l'école et sa mère le savait. Son comportement, ses attitudes l'empêchaient totalement de mener une vie normale. Bien sûr, par moment elle était lucide, plutôt réaliste. Elle comprenait qu'elle était malade, que quelque chose n'allait pas. Mais ces moments étaient rares et ne suffisait pas à faire changer les choses. En ce jour donc, Caroline et Cléo avaient rendez-vous avec l'un des psychiatre du Chandler Regional Hospital. Cela n'enchantait pas Caroline d'accepter de faire suivre sa fille. Mais parfois il faut se rendre à l'évidence, seul des spécialistes peuvent réellement aider les gens comme Cléo. Alors, Caroline allait être obligé de raisonner sa fille, de la forcer à la suivre. Mais il n'y avait aucun doute, elle finirait chez un docteur pour commencer à traitement et sa mère n'espère qu'une chose, que cette initiative puisse l'aider à guérir.

« - Cléo cela fait plus de huit ans que nous vous suivons. Personne n'avait vu ceci arriver qu'es qu'il s'est passé ? - Il y avait une foule, beaucoup beaucoup de monde. Un homme grand, avec trois yeux, me regardait. J'étais là, assise dans mon bain, je ne pouvais rien faire. Et il me regardait tous. Je me suis mise à crier, à leur ordonner de partir, je voulais qu'ils s'en aillent. Et puis cet homme, il s'est mis à me parler, il me tendait ce ciseau. Il disait que la police était sur le point d'arriver, qu'ils venaient me chercher pour les crimes que j'avais commis, pour les hommes que j'avais tués. Il criait, il me terrifiait. J'étais terrifiée. Et puis il s'est rapproché, il m'a tendu ce ciseau, me désignant mon poignet droit. Je ne me souviens plus du reste. Juste que je me suis retrouvée à l'hôpital, un bandage au bras, ma mère en pleurs à côté de moi. Je n'ai jamais eu envie de me suicider. Mais vous auriez dû entendre le son de sa voix, la fureur avec laquelle il me parlait. Personne n'aurait pu résister. Il m'y a forcé. - Très bien. Je constate que nos traitements ne sont pas tellement efficaces, je pense qu'il vaudrait mieux maintenant que vous restiez à l'hôpital. Nous vous suivrons chaque jour pour que ces démences ne se reproduisent plus. Pour empêcher que ces hallucinations vous poussent à vous faire du mal ou à faire du mal aux autres. Nous vous aiderons à vous remettre de cette tentative de suicide, vous n'avez plus les moyens de rester seule et vos parents n'ont pas les connaissances suffisantes pour vous aider. Aujourd'hui, il faut regarder la vérité en face et accepter que vous avez un problème. - Docteur, cela fait près de neuf ans que je sais que j'ai un problème. Mais je ne peux rien y faire. Croyez-moi pourtant, je le sais. Oui, je suis schizophrène. »

III • CONSULTATION

Cléo a apprit sa maladie à quinze ans. Depuis elle ne cesse de se dévelloper ralentissant considérablement la progression de la jeune fille. Malgré tout, elle n'est pas encore eu stade le "pire". Ces instants de lucidité lui permettent d'avoir un semblant de vie normale, même s'ils sont très rare. L'un des points positif est qu'elle reste tout de monde assez ouverte au monde. Bien sur ne lui demander pas de se comporter normalement en permanance ou de ressentir les mêmes sentiments que vous dans toutes les circonstances, elle en est incapable. Mais les médecins qui la suivent depuis sa tentative de suicide il y'a plus d'un moi se sentent confiants. Elle présente de nombreuses manies, surement à cause de sa maladie qui la pousse par exemple à toujours regarder la poignée d'une porte avant de l'ouvrir ou encore à refuser de passer à côté d'un mur bleu. Si vous ne comprenez pas toujours ce qu'elle raconte, c'est qu'elle ne vous parle pas, elle s'adresse surement à Harold, ce vieux flic haineux qui l'aide à échaper à la prison.

IV • L'ORDONNANCE

PSEUDO/PRENOM: nenes
GROUPE: : Patiente
AVATAR: Ashlee Simpson
COMMENTAIRE(S):

awwwwwwwn Ashlee!
Bienvenue à toi. (a)

Ashlee (a). Comment je l'aime trop .
Bienvenue !

ASHLEE! Et je suis carrément fan du prénom Cléo !
Bienvenue, et bonne chance pour la suite!

ASHLEE

Hoo quel accueil (a) Merci beaucoup !
Roo des gens qui aime Ashlee & Cléo, je vous aime déjà (a) *sors*

ashley et cléo; j'aimeeee
bienvenueeeeee

Ashlee bon choix , manquerait plus que Jessica Bievenue

Haa merci vous trois (aa)
Héhé c'est vrai, même si je préfère largement Ash' à Jessica ><

Je pense avoir finit ma fiche

Haa merci (aa)