Jean Brodmerkel

Messages : 11 Date d'inscription : 17/05/2010 Pseudo : Lizette

JEAN JUNE BRODMERKEL

I • QUOI DE NEUF DOCTEUR?

ORIGINES: Américaines et canadiennes
NATIONALITÉ: Américaine
LIEU ET DATE DE NAISSANCE:17 juin 1976, Boston
EMPLOI:Titulaire en chirurgie

II • C'EST GRAVE DOCTEUR?

[i]Je suis née par un beau jour d’été 1976 à Boston. Je n’étais pas voulu, disons plutôt que j’étais une erreur de parcours. Lorsque ma mère est tombée enceinte, mon père s’est sentit obligé de la demander en mariage. Coincée, sous la pression de ses propres parents elle accepta. Evidemment leur couple n’était pas fait pour durer et ils divorcèrent lorsque j’avais à peine 3 ans. Autant dire que je les ai toujours connus séparés. Je n’ai aucun souvenir d’eux ensemble. A vrai dire je ne les vois pas du tout former un couple…Ils sont tellement différents. Mon père est un homme posé, intelligent, qui recherche une vraie vie de couple, un foyer, une famille, la stabilité… Alors que ma mère, c’est une toute autre paire de manche. Ancienne mannequin, matérialiste et vénale elle est attirée par l’argent. Comment a-t-elle réussi à mener un train de vie aisé durant toutes ces années ? En se faisant entretenir par des hommes riches. Elle les épousait, puis peu de temps après divorcer, en empochant avec elle la moitié de leur fric. Jusqu’à l’âge de 10 ans j’ai vécu chez mon père. Une horreur. Non pas que je ne l’aimais pas, bien au contraire… Mon père c’est tout pour moi, je l’adore. Mais ceux que je ne peux pas supporter c’est ma belle famille… En effet alors que je n’avais que 7 ans il s’est remarié à une femme qui avait déjà 3 gosses, et en plus de cela il lui en a fait deux. Passer de fille unique à 5 frères et sœurs, autant dire que c’était assez dur. D’autant plus que je ne pouvais pas encadrer ma belle mère, ni ses saletés de mioches pleurnichards et pourris gâtés. Alors à l’âge de 10 ans j’ai supplié ma mère pour qu’elle me prenne avec elle. Ce qu’elle accepta, non pas parce qu’elle m’adorait et que c’était un plaisir pour elle de s’occuper mais de moi, mais parce que c’était un bon moyen de faire chier son ex mari. Certes vivre avec ma mère et mes nombreux beaux-pères – parce que j’en ai vu passer – n’était pas l’idéal, mais c’était tout de même mieux que de vivre avec l’autre tribu. Et puis y’en a qu’en même eu un ou deux qui n’étaient pas trop mal. M’enfin j’avais appris à ne pas m’attacher à eux, ayant fais les frais de terribles désillusions lorsque quelques mois plus tard ils disparaissaient de ma vie.

A l’adolescence, comme tous les jeunes je pense, je suis passée par ma période rebelle. Je séchais les cours, sortait avec de mauvais garçons, fumait, buvait, insultait mes parents… Fort heureusement ça m’est passé assez vite, sinon je ne vous dis pas où j’en serais aujourd’hui, sûrement caissière dans un supermarché du coin. Je me suis rendu compte qu’il ne fallait pas prendre les études à la légère, que c’était important. D’autant plus que j’avais pour ambition de devenir un grand chirurgien. Cette vocation m’était venue très jeune, à l’âge de 6 ans c’est pour vous dire. Un jour où je me suis entaillée assez profondément la paume de main avec un couteau (que voulez vous j’étais chez ma mère sans surveillance, fallait bien que je m’occupe), on m’a emmené aux urgences de l’hôpital où on m’a recousu. Il y avait plein de sang, une aiguille et tout, et moi je trouvais ça rigolo. Oui oui je vous jure. J’ai toujours été une casse cou et me faire mal ne me faisait pas peur. D’autant plus que j’étais dure au mal. Alors contrairement à 95% des enfants, je ne pleurais pas du tout, au contraire je posais tout plein de questions à la femme qui me soignait. Du genre c’est quoi ça ? A quoi ça sert ? Une vocation était née. Tout ça pour vous dire que si je voulais devenir un jour chirurgien il allait falloir que je bosse un peu quand même. Je me suis donc recentrée sur mes études. Grâce à l’argent récolté par les différents divorces de ma mère je pus intégrer une grande fac de médecine, sans avoir de prêt étudiant sur le dos à rembourser jusqu’à la fin de ma vie. Pour une fois que ma mère servait à quelque chose. J’ai toujours eu beaucoup plus de facilité que la moyenne, et puis je suis intelligente faut le dire, conclusion mon diplôme je l’ai eu sans grandes difficultés. Et en plus de cela je trouvais aussi le temps de sortir avec mes amies, de faire la fête. J’ai vécu à fond ma jeunesse, sans être pour autant dans l’excès, juste ce qu’il faut. J’ai fais ensuite mes années d’internat à l’hôpital. Je me suis tout de suite rendue compte que c’était un métier très prenant, épuisant, mais ô combien excitant. J’étais du genre à me battre avec mes collègues pour obtenir le cas le plus intéressant. J’étais la meilleure – et le suis toujours d’ailleurs – il faut l’avouer, et je dis ça en toute modestie (a). D’ailleurs alors que pleins d’internes se plantaient en beauté et devaient repiquer leurs années, ou abandonner carrément, moi j’ai passé les années avec brillot et devint rapidement résidente en chirurgie, puis finalement titulaire. Une des plus jeunes. Aujourd’hui je suis en constante recherche de nouveauté… Traiter un cas banal, du genre une appendicectomie, je trouve ça d’un ennui. Non moi j’aime quand c’est compliqué, qu’il y a du sang partout, que c’est un cas extrêmement difficile à traiter, énigmatique… Ce qui fait que parfois on pourrait me croire insensible. Etant du genre à m’extasier quand je vois un type emmené par les ambulanciers, une barre de fer qui lui traverse tout le corps. Mais je vous rassure je ne suis pas un monstre. D’autant plus que la raison principale qui m’a poussé à faire ce métier était d’aider mon prochain, pouvoir sauver des vies… D’ailleurs j’ai tendance à m’attacher un peu trop à mes patients. Pourtant j’essais d’être la plus détachée possible, sachant qu’ils peuvent mourir sur ma table d’opération, n’importe quand. Mais parfois c’est très dur à faire. Après tout je suis humaine, comme tout le monde.

Concernant mes relations avec les hommes, comment dire… Moi + relation de couple = incompatibilité. J’ai déjà tenté l’expérience, et croyez moi à chaque fois cela s’est très mal fini. Je n’ai pas le temps pour ça. Préserver son couple demande énormément d’énergie et de temps, chose que je n’ai pas. Mon travail est beaucoup trop prenant. Et puis je me suis résigné à l’idée que tous les mecs étaient des salauds alors… Un psy vous dira sûrement que c’est dû en grande partie à tous les mecs que j’ai vu passer dans la vie de ma mère. Bref j’ai mis une croix sur les relations sérieuses. En revanche cela ne veut pas dire que j’ai mis une croix sur les hommes en général. En fait je garde seulement le meilleure dans une relation de couple : le sexe. Toutes les liaisons que j’entretiens avec les hommes sont purement physiques. Je mets un point d’honneur à ne jamais mélanger les sentiments. Et qu’on se le dise, j’adore le sexe. Je suis une bonne vivante, j’aime les plaisirs de la vie, et donc ça en fait forcément parti. J’aime bien séduire, jouer de mes charmes, aguicher… Faire ce que je veux d’un homme. Oh oui parce que je me suis rendu compte qu’il suffit de jouer un peu de ses atouts féminins pour faire ce qu’on veut d’un mec. Un homme est si faible et prévisible. Mais ne vous méprenez pas, je ne suis pas une traînée, je ne saute pas sur tout ce qui bouge. Je choisis mes partenaires avec soin. Ou pas.

III • CONSULTATION

# A l'âge de 28 ans je suis tombée enceinte par erreur. N'ayant pas le temps de m'occuper d'un enfant j'ai préféré avorter. Une décision qu'il m'arrive parfois de regretter lorsque je me sens seule ou que je vois une mère heureuse avec son enfant. Mais la plupart du temps j'essai de ne pas y penser.
# J'ai 5 demi-frères et sœurs, 2 seulement partagent le même sang que moi

IV • L'ORDONNANCE

PSEUDO/PRENOM:Lizette
GROUPE: : Titulaire
AVATAR: Evangeline Lilly
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